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91 Points

Friday, March 22, 2024 - (CDV)
De prime abord le nez un peu strict, riesling en demi-teinte qui pétrole légèrement, s’est métamorphosé passant du muet au sonore, du noir et blanc à la couleur, alliant fruité (fruit à noyau, mirabelle) épices et notes confites.
Derrière le sucre (5/7g?), la tension se faisait discrète mais finit par se déployer en mangeant: le vin devint plus puissant, gagnant de l’allonge, de l’ampleur, du souffle. Rien à voir avec la première approche !
Comparé à là magnificence d’un Boxler (E 2016 goûté le midi-même), ou la complexité d’un Deiss, on est un ton en dessous certes….

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