En matière de vin, il ne faut jurer de rien... 4ième fiole de ce millésime. Les trois premières étaient grenat, des traces certaines d'évolution, et des notes significativement tertiaires. Déclin annoncé.
Celle-ci ? que nenni ! Rubis, assez clair, des trace d'acide malique à l'ouverture... oh que c'est dur en bouche. En une heure d'épaulement, l'équilibre se réinstalle. Ce vin est jeune! Canneberge, poivre vert, fermeté, solide épaule, acidité mesurée, mais fraiche et franche. L'avoir su , je l'aurais ouvert deux ans plus tard...
En matière de vins, il ne faut jurer de rien...
(***1/2)
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Clairement un vin sur tertiaire. Déclin depuis 1 an ou deux. Arômes balsamiques et caramel. Malgré tout plaisant. Il ne faut pas l'épauler longtemps (1/2 heure, 1 heure au maximum...) car il s'amincit après 2 heures
(***)
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Plus robuste. Un Gevrey avec des épaules, et le fruit est toujours là. Les différentes bouteilles diffèrent pas mal...
L'acidité tire un peu sur le malique, et on voit que c'est un 2008. Peu de trace d'évolution encore une fois, et je crois que je vais laisser dormir les deux autres quelques mois...
(***)
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Domaine de la Vougeraie Gevrey-Chambertin 1er Cru Bel-Air , 2008
Le vin est limpide, sa couleur tire plus sur le rubis que le grenat, et son nez est plus discret que la première bouteille bue ce printemps. Une très légère réduction s’évanouit en 5 minutes.
On retrouve des arômes de cerises et de kirsch. Cette bouteille présente un vin plus ferme, moins évolué et plus puissant, presque l'inverse de la première bouteille !
Ces vins qui évoluent trop vite ont souvent un pattern d’une très grande variabilité d’une bouteille à l’autre. En ce sens, acheter ces bouteilles est un peu un coup de dés.
Mais justement, pour moi, c’est un plaisir diamétralement opposé à ces vins industriels normalisés et régularisés comme des boissons, et qui ont un goût prévisible et constant. En matière de vin, je préfère l’artisanat et la variabilité due aux saisons, aux climats et aux terroirs. Si je retourne à nos moutons, ce Gevrey est moins évolué, moins tertiaire que son prédécesseur. Et à 55$, ce n’est pas cher vu la rareté de l’appellation. Tout le monde à bien aimé.
(***1/2)
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Domaine de la Vougeraie Gevrey-Chambertin 1er Cru Bel-Air 2008
Superbe nez explosif de cerise et d'arômes balsamiques. Le vin est un peu fatigué et franchement tertiaire. Pas de problème de réduction dans mon cas. Presque puissant, son fruit très présent est subitement tronqué par une petite finale acidulée très typique de 2008 en bourgogne, ce qui finalement limite la longueur du vin à moyenne. Ce vin a probablement atteint son apogée prématurément en 2013. Cette fiole ressemble énormément à un Mazoyères Chambertin de Taupenot Merme de la difficile année 2004, dégustée en 2013, mais en moins graveleux et une finale nettement moins acide. Au final, la bouteille s'est malgré tout éclipsée très vite sous les coups de boutoir de la famille Ogre de la Bourgogne et on peut dire qu'à 55$ on en a eu tout de même pour notre argent. (pensez-y , le millésime 2012 du même vin était à 125$...)
(***)
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9/28/2015 - bourgogre Likes this wine:
En matière de vin, il ne faut jurer de rien...
4ième fiole de ce millésime.
Les trois premières étaient grenat, des traces certaines d'évolution, et des notes significativement tertiaires. Déclin annoncé.
Celle-ci ? que nenni !
Rubis, assez clair, des trace d'acide malique à l'ouverture...
oh que c'est dur en bouche.
En une heure d'épaulement, l'équilibre se réinstalle.
Ce vin est jeune! Canneberge, poivre vert, fermeté, solide épaule, acidité mesurée, mais fraiche et franche.
L'avoir su , je l'aurais ouvert deux ans plus tard...
En matière de vins, il ne faut jurer de rien...
(***1/2)
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7/26/2015 - bourgogre Likes this wine:
Clairement un vin sur tertiaire. Déclin depuis 1 an ou deux. Arômes balsamiques et caramel. Malgré tout plaisant. Il ne faut pas l'épauler longtemps (1/2 heure, 1 heure au maximum...) car il s'amincit après 2 heures
(***)
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6/20/2015 - bourgogre Likes this wine:
Plus robuste.
Un Gevrey avec des épaules, et le fruit est toujours là. Les différentes bouteilles diffèrent pas mal...
L'acidité tire un peu sur le malique, et on voit que c'est un 2008.
Peu de trace d'évolution encore une fois, et je crois que je vais laisser dormir les deux autres quelques mois...
(***)
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6/14/2015 - bourgogre Likes this wine:
Domaine de la Vougeraie Gevrey-Chambertin 1er Cru Bel-Air , 2008
Le vin est limpide, sa couleur tire plus sur le rubis que le grenat, et son nez est plus discret que la première bouteille bue ce printemps.
Une très légère réduction s’évanouit en 5 minutes.
On retrouve des arômes de cerises et de kirsch.
Cette bouteille présente un vin plus ferme, moins évolué et plus puissant,
presque l'inverse de la première bouteille !
Ces vins qui évoluent trop vite ont souvent un pattern d’une très grande variabilité d’une bouteille à l’autre.
En ce sens, acheter ces bouteilles est un peu un coup de dés.
Mais justement, pour moi,
c’est un plaisir diamétralement opposé à ces vins industriels normalisés et régularisés comme des boissons,
et qui ont un goût prévisible et constant.
En matière de vin, je préfère l’artisanat et la variabilité due aux saisons, aux climats et aux terroirs.
Si je retourne à nos moutons, ce Gevrey est moins évolué, moins tertiaire que son prédécesseur.
Et à 55$, ce n’est pas cher vu la rareté de l’appellation.
Tout le monde à bien aimé.
(***1/2)
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5/7/2015 - nicking Likes this wine: 90 Points
Bois , herbe , vanille , framboise ,
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3/21/2015 - bourgogre Likes this wine:
Domaine de la Vougeraie Gevrey-Chambertin 1er Cru Bel-Air 2008
Superbe nez explosif de cerise et d'arômes balsamiques. Le vin est un peu fatigué et franchement tertiaire. Pas de problème de réduction dans mon cas.
Presque puissant, son fruit très présent est subitement tronqué par une petite finale acidulée très typique de 2008 en bourgogne,
ce qui finalement limite la longueur du vin à moyenne.
Ce vin a probablement atteint son apogée prématurément en 2013.
Cette fiole ressemble énormément à un Mazoyères Chambertin de Taupenot Merme de la difficile année 2004,
dégustée en 2013, mais en moins graveleux et une finale nettement moins acide.
Au final, la bouteille s'est malgré tout éclipsée très vite sous les coups de boutoir de la famille Ogre de la Bourgogne
et on peut dire qu'à 55$ on en a eu tout de même pour notre argent.
(pensez-y , le millésime 2012 du même vin était à 125$...)
(***)
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